Université Laval
À la suite d’un workshop avec Jean Verville, l’atelier a exploré la création de nouvelles formes en s’amusant avec les paradoxes entre pleins et vides, jouant sur des tensions d’air et des dynamiques spatiales.

Un projet qui explore les frontières entre l’architecture, le corps et l’air.
Initier des nouveaux volumes
Nous avons proposé aux étudiant·e·s une expérience immersive autour de la création d’une structure mobile, protéiforme et sensible. En s’appuyant sur des matériaux gonflables, une structure collective a été assemblée et consolidée grâce à l'effet "sous vide". Une fois compressés, les divers éléments gonflés forment un tout.



Le défi de l’atlier, réussir à créer une forme éphémère mais stable, oscillant entre expansion et retenue.
Entre tension et expansion
Cette dualité, entre l’air plein et l’air vide, devient ici un langage spatial autant que corporel. Elle évoque un état de tension intérieure, comme lorsqu’on retient son souffle, ce souffle qui soutient notre posture, qui nous traverse, qui nous structure. La matière devient corps, et le corps devient architecture.

Légèreté et manipulation

L’atelier interroge les formes, les systèmes, les récits en lien avec l’espace tout en accordant une attention particulière portée à l’expérience physique, sensorielle et collective.
Une collaboration riche
La collaboration avec Jean Verville, architecte québécois reconnu pour son approche ludique, sensible et déstabilisante de l’espace, a permis au projet de proposer un univers aux formes multiples.
